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Place du Grand Port 

C'est ici, sur l'ancien site de la laiterie, que se situent La Vieille Auberge ainsi que l'embarcadère tenus par M. et Mme Largeaud.

Lever de soleil sur le Grand Port
Lever de soleil sur le Grand Port


  

En longeant la rue Porte-du-Marais de la Vieille Auberge à l'impasse des Fours, nous trouvons à droite, la place du Tertre, puis nous laissons à notre gauche le chemin de la rivière.
Continuons.

Il apparait à notre gauche une grande maison à côté d'un petit parking privé : c'était en 1929 le restaurant À la carpe frite.


Quasi en face du restaurant se  tenait un maréchal-ferrant, Ulysse Bonnaud. Son fils lui succédera puis plus tard fabriquera des barques.


Courrier de l'Ouest du 24 aout 1971

C'est en forgeant que l'on devient forgeron

Il sait que son métier est fichu. Le progrès...
Mais il continue. C'est un des derniers. En chantonnant tout au long de la journée « C'est en forgeant que l'on devient maréchal ». C'est un philosophe.

Il s'appelle M. Bonneau et exerce à la Garette. Pour ce coin trois étoiles en ce qui concerne le tourisme, il constitue un attrait désuet qui n'est pas dépourvu d'intérêt.

 

M. Bonnaud est très populaire. On aime son bon sens et sa jovialité.



 

 

 

 

Quittons la maison du forgeron et prenons à notre gauche l'impasse des Fours.

 

Après l'ancienne école, en descendant la rue, on voit à droite deux fours sur la propriété de Philippe Tardy. M Tardy indique qu'il y avait dans cette impasse deux fours  appartenant à plusieurs familles. Il y avait 5 ou 6 ayants droit.



 

 

Revenons sur nos pas et engageons nous dans la rue des Gravées.

C'est alors que l'on comprend l’appellation « village-rue » avec entre la conche et le tertre les maisons qui s'alignent, à droite essentiellement.

 

 

Au départ de cette rue, se trouve l'ancien embarcadère Largeaud-Bouyer.

Après le site de l'ancienne laiterie, l'embarcadère s'était installé au début de la rue des Gravéess
Après le site de l'ancienne laiterie, l'embarcadère s'était installé au début de la rue des Gravéess


 

 

Au n° 16 actuel de la rue des Gravées vivaient Émile et Catherine Perrin.

À côté se trouve une venelle conduisant à une cale.