Histoire de la Maison de la coutume actuellement Centre socioculturel du Marais

Voir aussi : page La Coutume de la Sèvre

Jean-Louis Gibaud


Mai 1285 – Lettres patentes délivrées par Mathieu, abbé de Saint-Denis, et Symon, seigneur de Nivelle, lieutenant du roi de France,

« Par lesquelles ils accordent aux bourgeois de Niort le privilège d’avoir une part franche pour transporter les marchandises de Niort à Marans à la charge de payer les droits de coutume énoncés et détaillés dans ces lettres, dont les deux tiers appartiendront au roi, le dernier tiers est donné au maire et aux bourgeois de la ville pour être employé aux réparations du canal de la Sèvre, à la construction du port et à la restauration des portes et murailles de la ville. Les deux tiers des amendes encourues pour contravention à la coutume seront perçus par le sénéchal du Poitou. »

 

1325 

Il parait, par les anciens titres de 1325, que Raoult, seigneur de Benet, donne à Guillaume de Verruyes les parties qu’il avait au passage de Coulon, au rivage, au levage, qui pouvait valoir soixante sols cinq deniers, et qu’il retint le péage qu’il aurait audit lieu de Coulon.

 

1er juin 1377 – Lettres patentes de Jehan, duc de Berry,

« qui ordonne de lever une imposition sur toutes les marchandises entrant en ville et dans les portes de Sevreau, de la Tiffardière, Coulon, etc. »,

ceci afin de financer l'établissement d'un port dans la ville de Niort.

 

7 mars 1393 – Transaction entre Briffaud de Verruyes et Hugues de Payré,

« pour moitié de tous et chascunes les proffits et toutes et chascunes les denrées et autres choses passant et repassant du port de Coulon à La Garette et de La Garette à Coulon et moitié de la 6e partie du profit, du passage appellé rivage montant ou avalant de Niort à Marans ou d’ailleurs, plus près ou plus loin, passant et repassant par les ayves ou eaux arrêstant ou déchargeant en laditte ville de Coulon et moitié de tous les proffits appelés barrage et rivage arrivant au port de laditte ville de Coulon. »

 

1419 – Concession du droit de coutume aux maire et habitants de la ville de Niort par Charles, comte de Poitou, fils du roy Charles VI, extrait de ces redevances :

« c’est à scavoir sur chaque setier de sel ou de graines quatre deniers, sur chacun minot ou charge de farine 6 deniers, sur chacun tonneau de vin 2 sols, sur chacune pipe de vin 12 deniers, sur chacun cent de fer 3 deniers, sur chacun cent d’acier 5 deniers, chacun cent d’oyril 8 deniers, sur chacun milier de merrain 5 sols, etc. »

 

En cette fin du XVe siècle, la terre de Coulon, qui faisait partie de l’élection de Niort, dépendait de la châtellenie de Benet, et se composait de :

- la seigneurie d'Ambreuil appartenant aux Despres, seigneur de la Fosse

- la seigneurie du Prieuré de la Cour de Glandes, appartenant au prieur de Fonblanche,

 

et de 4 fiefs :

- le fief de Laleu aux de Maillé, Seigneur de Laleu, 

- le fief des Marais, à Jean de Lezay, seigneur des Marais de Lezay, puis à Catherine de La Jaille, dame de la Mothe,

- le fief de Payré à Huguet de Payré, puis à Péan Boutou, seigneur de la Baugissière, époux de Louise de Payré, puis Briand Boutou, époux de Françoise Béchet, et leur fille Jacqueline Boutou épouse de Jean de Vivonne, seigneur d'Oulmes,

- le fief de Verruyes à Guillaume et tristan de Verruyes, puis à Jean de la Faye.

 

En 1564, la réunion de ces quatre fiefs formera la seigneurie de Coulon. Ces seigneurs se partageaient les revenus du port, et d'autres droits seigneuriaux. Au début, le seigneur de Benet percevait une partie du péage.

 

Ce droit appelé « coutume de Sèvre » était perçu au début au grand port de l'église, soit au niveau de l'actuel presbytère : 

- « grande coutume », pour le passage de Niort à Marans et de Marans à Niort,

- « petite coutume », pour le passage de Coulon à la Garette.

 

Ce droit de coutume était perçu à l'arrivée du grand port de l'église, situé au niveau de l'actuel presbytère, dans une maison appelée « Maison de la coutume », au n° 10 de la rue de l'Église actuelle. Cette maison appartint au messire Nicolas Avice de la Motte Mougon, président de l'élection de Niort qui, vers 1700, la fera reconstruire.

 

Le port de l'église était difficile d'accès. Une famille issue de Marans du nom de Pellot, dont 4 membres vont se succéder comme seigneurs en partie de Coulon et à part entière en 1564, après l'achat des 4 fiefs.

Pierre Pellot établira un port à l'ouest de l'actuelle place de la Coutume, appelé « port des Moucles » ou « port des huitres ». Par la suite, Pierre (3e du nom), achètera en 1570 une maison 1 pour en faire sa « Maison de la coutume » et établir un port jouxtant le port des Moucles.

 

1475 – fermeture des greniers à sel - Pierre Pellot marchand de sel.

Pierre Pellot (le premier) était marchand de sel. Coulon avait son grenier à sel, le sel très recherché à l'époque était l'objet de fraude. Le 8 février 1475, le roi Louis XI demande au sénéchal du Poitou de fermer les petits greniers à sel de Coulon, Sevreau et autres.

 

Mai 1494 – Rémission accordée à Guillaume Pillet et François Penot pauvres marchands et transporteurs furent mis en cause. Ils ont notamment fait mener plusieurs fois du port de Coulon sur la Sèvre plusieurs charges de sel au grenier à sel de Loudun et ailleurs au pays d'Anjou.

 

On constate que du sel partait du port, et ce malgré les ordonnances du roi Louis XI du 8 février 1475 demandant au sénéchal du Poitou de fermer les petits greniers à sel, de Coulon, Sevreau et autres. Sortant en fraude du port, ces charges empruntaient le chemin des Sauniers, connu à Coulon sous le nom de chemin Sauneret.

 

1505 – En février 1505, par lettres patentes datées de Blois, Louis XII octroie à toujours le droit de coutume sur le port de la ville de Niort et sur le cours de la Sèvre.

 

1528 à 1564 – Les Pellot achètent petit à petit les quatre fiefs et deviennent seigneurs de Coulon à part entière. 

- 1528, mort de Catherine de la Jaille. Le fief des Marais est acheté par Pierre Pellot, premier du nom.

- le 12 octobre 1545, Louis Macé vend à Jehan Pellot la 12e partie des droits seigneuriaux, avec les droits de coutume.

- 11 juin 1562, Jean Des ages vend à Pierre Pellot (3e du nom) les deux parts et la moitié de la 8e partie de la coutume de Coulon  des marchandises qui passent et repassent pour aller à Niort, plus les deux parts en la 8e partie du passage de Coulon au lieu de la Garette.

 

1564  Aveux de Pierre Pellot au seigneur de Benet.

Le 30 juin 1564, Pierre Pellot avoue tenir les seigneuries de Laleu, des marais, de Payré et de Verruyes, avec cens, four à ban, passage, coutumes, pêcheries et autres.

« Touttes les dittes seigneureries de Coulon et desquelles de présent je suis seigneur. »

 

1570

Pierre Pellot achète une maison avec le verger pour en faire sa Maison de la coutume 1.

le 5 juillet 1570, Pierre Pellot, avec sa femme Catherine Macé, achète de René Dabillon, une maison avec un verger devant pour en faire sa Maison de la coutume.

 

1582 – C'est probablement à partir de cette date que la coutume est perçue dans la maison achetée par Pierre Pellot.

 

1583 – Aveu de Pierre Pellot, dernier du nom, au seigneur de Benet.

Pierre Pellot est sous la tutelle de sa mère, Catherine Macé..

 

1588 – Premier bail de la Maison de la coutume qui devient l'octroi.

Le 15 octobre 1588,  bail à ferme par Louis Lorent, escuyer , seigneur de la Mormartin, conseiller du roy, commissaire de l'élection de cette ville de Niort, y demeurant. maire de Niort en 1585,

à René Bordron, marchand demeurant à Coulon pour trois années… « savoir sont les droits et devoir de coutume, ceux du passage » Signé en l'original Lorant sans préjudice des droits « desnesses » appartenant à Catherine Pellot, femme de mnsieur Lorant. »

 

C'est le premier bail connu pour la nouvelle Maison de la coutume.

 

Les seigneurs de Coulon mettent à la disposition des voyageurs, de jour comme de nuit, plusieurs bacs entre Coulon et la Garette, ainsi que le seigneur de Sansais  entre la Garette et Coulon.

Pour celui de la Repenrtie à Coulon et de Coulon à la Repentie, ce dernier fut créé en 1700 par Suzanne de Saint-Gelais, veuve de Claude de Belleville, seigneur de Coulon. 

De plus, les voyageurs trouveront le gîte et le couvert dans la nouvelle Maison-auberge de la coutume. 

 

Liste des fermiers de la Maison-auberge de la coutume chargés de l'octroi et du passage 

 

 Pierre Bodin  1582    René Olinier  1683     Louis Jamois   1722
 René Bordron  1588  Jacob Fillon   1687  Colon   1724
 François Dabillon  1603  Jean Rondier   1694  Jacques Tasché  1726
 François Sallard  1615    Jean Rondier 1699    Louis Jamois, dit    Grand Marais  1736
Pierre Desprez  1838  Jacob Fillon   1708  Jean Moinault  1756
 Laitang 1676    Simon Baudin   1710    Pierre Meschain  1771
 Louis Fugerat  1681  Pierre Roulet    1716   Jean Gommine  1775

 

 

En 1683 – le bailleur, Louis Fugeras, fermier général de la seigneurie de Coulon, s’oblige de faire au preneur René Olivier et Marie Magdeleine Rousseau, sa femme, fermier de la coutume, quatre fournitures de dix-sept barriques de vin clairet qui proviendra de la vigne de Champmoireau, de la vendange qui sera récoltée ces quatre années (minutes Thibault, notaire à Niort).

 

1753 – Par son mariage en 1723, avec Marie-Charlotte de Belleville, dame de Coulon, Messire Joseph Betthelin de Monbrun était devenu seigneur de Coulon.

 

Le seigneur de Sansais ayant augmenté les droits de passage de la Garette à Coulon, le seigneur de Coulon fit de même et étendit cette augmentation à la grande coutume. Protestation des marchands et des bateliers qui refusèrent de payer les nouveaux droits. Le pouvoir royal intervint en la personne de l’Intendant du Poitou… et se termina des années plus tard, par un arrêt du Conseil d’État daté du 28  juillet 1753 2, M. de Monbrun fut contraint d’appliquer des nouveaux droits.

  

1774 – « Maison-auberge de la coutume» et « auberge du Cheval-blanc »

  

Le 3 mars 1774, Pierre Grelet, aubergiste achète une maison 3 qu'il occupait déjà à titre de loyer. 

En 1776, il demande au seigneur de lui céder une partie de la place 4. Refus de M. de Montbrun .

Poursuivant son action, Grelet fait ouvrir et recreuser un canal de douze pieds de large, de la rivière jusqu'à l'entrée de sa maison, prétendant que cet espace lui appartenait, étant autrefois l'ancien port des huîtres, en même temps accole à ce canal, du côté de la place un fumerioux. 

Enfin, il fit construire devant sa maison un escalier en pierre; à la suite, il fait élever un hangar appelé ballet au dessus de la rue qui sépare sa maison d'avec la grange, en plus au dessus du hangar, il fait construire un appartement, et pour y monter il a passé sous l'arcade une échelle dormante. Ce hangar est destiné, selon Pierre Grelet, à mettre à couvert les paniers et mannequins des voyageurs qui descendent chez lui. C'est par conséquent nouvel obstacle sur la voie publique. Grelet n'ayant voulu remettre les lieux dans leur ancien état, M. de Montbrun fut forcé de le traduire en justice.

 

1782 – Procès du propriétaire de la Maison de la coutume avec son voisin aubergiste.

En 1782, débute un procès qui opposera Jean Gabriel Simon Berthelin de Monbrun, seigneur d'Aiffres et de Coulon, propriétaire de la Maison-auberge de la Coutume à Pierre Grelet, aubergiste à l'enseigne Le Cheval blanc 5. 

Monsieur de Monbrun reproche à Pierre Grelet d'avoir fait recreuser un canal de douze pieds de large de la Sèvre jusqu'à l'entrée de sa maison, prétendant que cet espace lui appartenait, étant autrefois l'ancien port aux Huitres 6 ou aux Moules. Enfin, il a construit, toujours sur l'emplacement de la coutume, un escalier en pierre pour monter à sa chambre haute.

En plus, il a fait construire au-dessus de la ru, un hangar et un appartement et, pour y monter, il a passé sous l'arcade une échelle dormante. 

Ces constructions illégales font que M. de Monbrun traduit Pierre Grelet devant le juge. Celui ci est condamné à combler le canal – ce qu'il fera – et à détruire le balét 7 qui finalement ne sera pas démoli, car il existe toujours. 

 

Blason peint sur une plaque en tôle placé à la porte de la Maison de la coutume au-dessus des tarifs. 

 

En 1790 – La place de la Coutume devient place publique. 

En 1790, Pierre Grelet est élu maire de Coulon. La commune demande l'annexion de la place de la Coutume par la commune, ce qui lui est refusé par le district de Niort qui considérant que la place a été de tout temps publique. 

Pierre Grelet décède le 7 mars 1792. Son successeur à la mairie de Coulon, Gabriel Jamois, dans une délibération du 26 messidor an 2 (14 juillet 1792) somme le sieur de Monbrun de remettre la place publique en état et à la veuve Grelet de faire enlever son fumier, lequel est déposé sur la même place publique 8.

Le 20 aout 1794, M. de Monbrun décède à Aiffres. La Maison-auberge de la coutume tombe dans l'indivision avec Mme Anne Bruchard sa veuve, et Mmes de Sainte-Hermine et de la Rochebrochard, ses filles issues d'un premier mariage.

 

1802 -–fin des droits de coutumes mais création du droit de navigation 

Les droits de coutume seront supprimés le 20 mai 1802, est créé un droit de navigation. Un décret du 10 juillet 1804 fixe les droits à percevoir pour les passages par bacs. Jusqu'en 1800, les bacs sont toujours exploités au nom de Mme veuve de Monbrun et Mmes de Sainte-Hermine et de la Rochebrochard. À cette date, les bacs et les bateaux de passage sont vendus à Pierre Soulisse, maire de Coulon et fermier de la Maison-auberge de la coutume pour la somme de 300 livres, lesquels seront revendus à l'Administration pour la somme de 508 francs. Dorénavant, les passages seront adjugés au plus offrant. Les droits cesseront d’être perçus en 1858.

 

Le plus grand des bacs, pour le passage de la Garette, a une charge de 70 individus, compris 3 mariniers, ou à 15 chevaux, mulets... et leurs conducteurs. Un autre bateau a une charge de 25 individus, y compris le passeur. Un batelet a une charge de cinq individus compris le passeur. La desserte par les bacs cesse le 6 septembre 1850, après l'ouverture des ponts. Le dernier adjudicataire, pour les deux passages, fut M. Grasset, lequel tenait l'hôtel des Deux-Sèvres à La Repentie. 

 

Voici sur plusieurs années, le nombre de bateaux qui sont passés en payant les droits de navigation à l'octroi de Coulon :

Année - Bateaux 

1825   –  1255 

1826   –  1822 

1827   –  1221 

1828   –  908 

Total des droits perçus 3611,98 Francs 

 

Noms des gabares (à voiles et à la cordelle) vers 1860 

 Jeune Edmond-Antonin    L'Union des trois frères    La Sarcelle
 Charles X    Le Vigilant    Marie-Louise
 Julia    Agathe    Le Sauveteur de la Sèvre
 La Belle Poule    La Sœur des trois frères    Louise-Germaine
 Le Louis    L'Espérance    La Providence de Dieu
 Le Clémentin    Le Grand Fernand    

  

Bateliers et mariniers de Coulon de 1800 à 1900 

Chasseriau Jacques   Jacopin Étienne,    Soulisse Pierre,
 Roy Jacques    Taffourin André,    Robier François,
 AlbertT Pierre dit Rozet    Couraud Jean,    Robier Louis,
 Chasseriau André    Jacopin Jacques,    Roy René,
 Ravard François dit Tresousset   Jourdain François,    Bertrand Auguste,
Brillet Louis,    Brillet Jacques,    Faucher André,
Daigrier Jean dit Joyeux Batelier,    Reigné Pierre,    Cramois François,
,Soulisse François,    Maudet Jacques,    Cramois Jacques,
Nouzille Louis,    Rousseau Pierre,    Cramois Jean de Dieu.

 

 

1809 - La Maison  de la coutume restera une Auberge jusqu’en 1875 – Naissance de Louis Tardy

 

Cette auberge était tenue par François Tardy et sa femme Suzanne Alexandrine Bertrand. Le 4 juin vint au monde un garçon prénommé Louis. Louis Tardy sera l'un des pères fondateurs du Crédit agricole et Maire de Coulon de 1947 à 1961.

 

 

1886 – Marché aux porcs place de la Coutume 

En 1886, le marché aux porcs de la place de la Pêchoire avait été transféré sur la place de la coutume.

 

1895 – L'ancienne auberge de la Coutume devient un commerce de vins.

 

En 1895 la Maison de la coutume, avec l'annexe du 16 rue de l'Écu est mise en vente par Alfred de la Rochebrochard, descendant des anciens seigneurs de Coulon.

Un commerce de vin remplacera l'auberge. Il est tenu par Adolphe Jourdain et par la suite par son neveu, Alexandre Lège.

 

1986 – Elle devient le Centre socioculturel du Marais 

Maurice Moinard étant maire de Coulon, la maison devient la propriété de la commune pour créer un Centre social. La maison est achetée aux consorts Henry-Liège. 

 

Et voilà comment est né le Centre socioculturel du Marais.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

1. Aujourd'hui Centre socioculturel du Marais.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

2. voir l'arrêt en cliquant ci

 

 

 

 

3. N° 12 sur le plan et aujourd'hui n° 2.

4. N° 10 sur le plan.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

5. Aujourd'hui 2 place de la Coutume.

 

6. N° 5 sur le plan.

 

 

 

 

 

 

7. Hangar non clos sur tous les côtés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

8. Voir plan.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Plan de la Maison de la Coutume et du port appartenant au Seigneur de COULON

(Archives Départementales des DEUX-SÈVRES – 1ESPT3N-74 à 125)


Sources

- Olivier Loth, curé de Coulon

- « Le port de Coulon autrefois » par la Société historique et scientifique des Deux-Sèvres, 1929

- « Thrésor de la ville de Niort » par Augier de la Terraudière, maire de Nyort − 1675 – 2e édition de 1866

- Archives nationales, H.3214 – H 3215,

- Archives départementales des Deux-Sèvres, fonds Bodet 1ESPT3 de 74 à 125_S406-S412-S399, minutes Brisset, Thibault

Navigation

- Médiathèque régionale de Niort

- Archives historiques du Poitou, par Léon Celier - 1958, Mémoires de la Société statistiques, 1888

- Mairie de Coulon - Registres paroissiaux et d’état civil.