Les bourreliers - Coulon



Louis Mussat, place de la Pêchoire, où il tient également avec son épouse le Café national. En 1884, il achète le café-restaurant  Les Trois Piliers  qu’il dénomme Le Central où il exerce le métier de bourrelier jusqu’à son décès survenu le 24 février 1894, à l'âge de 45 ans. 

 

Omer Mussat, fils du précédent, né le 23 octobre 1878 à Coulon, s’installe 1 rue des Marais. Il décède en janvier 1945. Sa seconde épouse était dormeuse 1.

1 - guérisseuse



Baptiste Georges Porché, bourrelier originaire de Surgères où il est né le 27 février 1872, épouse Léontine Allely le 27 avril 1897 à Coulon. Il installe son atelier au 1 rue des Hivers (cité en 1902 dans l’Annuaire des Deux-Sèvres). Il décède le 22 janvier 1913. On se souvient de Mme Porché cardant de la laine de mouton dans son couloir ou sur le trottoir lorsqu’il faisait beau.



Albert Soulisse, dit « Le Tapissier », bourrelier, tiendra avec son épouse de 1890 à 1910, le café-restaurant-hôtel de la place. Son atelier avait sa sortie rue de l’Église. Puis vers 1910 il achète le café-restaurant-hôtel qu’il dénommera Le Terminus, son atelier de bourrelier était situé rue du Télégraphe.